Thorgal et les siens ont été capturés par des marchands d'esclaves. Des acheteurs se présentent, parmi lesquels l'intendant du gouverneur d'une province romaine à la recherche de "Barbares" en vue d'une surprenante partie de chasse. A 18 ans, les jeunes nobles de la cour passent leurs examens d'officier : l'une des épreuves consiste à poursuivre et abattre des prisonniers afin d'évaluer leur habileté à tirer à l'arc. Thorgal sera l'un des gibiers...

Le Chat du Rabbin, c'est Alger et le quartier juif au début du siècle. Celui qui regarde ce monde et qui raconte, c'est "Le Chat du Rabbin." Tout de suite, il explique pourquoi le Rabbin n'a pas plutôt un chien : "ça fait tellement longtemps que les juifs se font mordre, courir après ou aboyer dessus que, finalement, ils préfèrent les chats." Le chat mange le perroquet de Zlabya, la fille du Rabbin, et du coup, le voilà doté de la parole et exigeant de faire sa bar-mitzva. Les discussions vont être longues tant avec le Rabbin lui-même qu'avec le Rabbin du Rabbin. Ce chat, qui a une allure graphique à pleurer de rire, tantôt matou tendre amoureux de sa maîtresse, tantôt sournois filou, tient tête à tout le monde et ergote à n'en plus finir. Il ne se calme que dans la douceur des bras de sa maîtresse. Mais il lui est interdit de lui parler, alors il nous confie: "c'est la condition, si je veux rester avec elle. Ça vaut le coup de fermer sa gueule pour être heureux". Ceci ne l'empêchera pas de se mettre sur la piste des étudiants qui fréquentent l'école du Rabbin, car l'un d'entre eux a le désir d'épouser la jolie Zlabya.

" La nuit sur la Forêt d'Orient. Ils convergent tous vers le Tombeau. Les gardiens du Sang, les frères de la Loge Première. Et cette fois encore, comme ils le font depuis des siècles, ils vont se déchirer pour s'emparer d'une malheureuse dépouille que l'Histoire a tenté d'oublier. Car lui, le Christ, il repose là avec son secret. Au creux d'une terre d'ombre. II attend dans la mort. Il sait que sa Parole jaillira un jour hors de son sépulcre."

La jeunesse de John Difool, personnage emblématique de la série "L'Incal", toujours racontée par Alexandro Jodorowsky mais mise en images, cette fois, par un jeune dessinateur yougoslave, Zoran Janjetov, disciple de Moebius. La réédition des six tomes d' "Avant l'Incal", pour replonger dans les débuts du minable détective de classe "R" dans la Cité-Puits, sa rencontre avec son fidèle compagnon ailé Deepo "La mouette à béton" Là où l'on découvre aussi les véritables origines des parents de John Difool. Pour les amateurs d'aventures futuristes ! Des mêmes auteurs, aux Humanoïdes Associés : - "Avant l'Incal", Intégrale, - "Avant l'Incal", tomes 1 à 6. - "Les Technopères, tomes 1 à 3

Impossible de ne pas connaître Tom-Tom et Nana, le frère et la soeur de la folle famille Dubouchon. Avec eux, la vie au restaurant "A la Bonne fourchette" n'est pas toujours un long fleuve tranquille. Les embrouilles sont toujours au rendez-vous. Cette BD publiée dans la revue "J'aime lire" remporte un succès jamais démenti auprès des enfants. Il faut reconnaître que la folie qui anime les personnages est contagieuse

John Diffool et Looz de Garra ont trouvé des alliés de taille avec les Anarchopsychotiques, conduits par Tête d’Escargot. Ce groupuscule aussi violent qui motivé pour imposer l’Amour Fou est bien décidé à soutenir jusqu’à la mort les deux amoureux dans leur mission : faire éclater la vérité sur l’origine de l’auréole Aristo ! Avec l’aide de Kolbo 5, ils échafaudent un plan diabolique : profiter d’un jeu diffusé en direct dans toute la Cité-Puit pour délivrer leur message de vérité. L’émission étant présenté par l’animateur vedette Diavaloo, l’objectif est de le prendre en otage afin d’assurer leur arrières. Alors que la diffusion de l’olympiade télévisée commence, les militants de l’Amour Fou se mettent en place. Equipé de mini-bombes H, ils se sacrifient tour à tour afin de permettre à John et Looz d’atteindre l’animateur vedette. Les Robfliks sont débordés, l’assaut rageur des Anarchopsychotiques porte ses fruits. Mais alors que nos deux héros s’emparent de Diavaloo, une coupure publicitaire vient à point pour cacher aux TV Adds que tout ceci n’était qu’une machination fomentée contre John Difool. Et le traître est…

John Difool est l'élu : son code génétique peut, croisé avec celui de la gardienne de l'Incal lumière (Animah) sauver l'univers. Pour ce, un accouplement est nécessaire. Animah sacrifie sa pureté pour la cause et devient l'homéopute préférée de notre détective privé de classe R. De leur union nait Solune, être suprême, dont l'éducation sera confiée au Méta-Baron. Parallèlement, on suit Louz de Garra avec son nouveau prétendant : le Capitaine Kaïmann, un pirate de l'espace. Celui-ci montre à Louz que la mémoire de John Difool a été gommée et qu'elle ne représente plus rien pour lui. De nouvelles vies commencent, et John commence une mission de garde du corps. Et un cycle éternel.

Sept prophéties ont scellé le destin de Rome. La deuxième annonce un âge de fer. Dans les souterrains d'un temple oriental, à Emèse, quatre prêtresses complotent au triomphe de Ba'al, le dieu Soleil qui rayonne sur la Syrie. Lorsque la nuit tombe lourde et mystérieuse sur la cité, des enfants disparaissent. L'enquête du centurion Sylvius butte à chaque fois contre les murailles du temple de Ba'al. On prête à la divinité une voracité sanguinaire effrayante. Religion de mort, sensuelle et violente, que les dames d'Emèse veulent imposer à tout l'Empire, afin que le Soleil règne universellement en kosmocrator absolu, au-dessus des anciens dieux de Rome. Et Flavien comprend que son destin est lié à ce centurion, son double dans le passé, dont l'épouse ressemble si étrangement à Hélène. Leur quête est la même...

Paris occupée, 18 juin 1944. Dénoncée par une lettre anonyme, Jeanne, une jeune résistante, vient d'être arrêtée par la police française. Le jour même, François, un cambrioleur sans scrupules et quelque peu cynique, subit le même sort et se retrouve dans la même cellule du même commissariat. À la faveur d'une alerte, Jeanne et François s'échappent par les toits. Dès lors, par le jeu du hasard et de la nécessité, le sort commun des deux jeunes gens, que pourtant tout sépare, semble scellé. Pour le meilleur, et pour le pire.